Utiliser la puissance de l’éducation pour prévenir la toxicomanie

Ce n’est là qu’une des subventions essentielles rendues possibles grâce au soutien des membres de l’IAS.
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Au cours de l’année passée, des enseignants, des conseillers, des policiers, des spécialistes de la prévention de la toxicomanie et des parents ont placé plus de 33 000 commandes auprès de la Fondation pour un monde sans drogue afin d’obtenir des supports éducatifs sur la drogue. C’est une nouvelle commande toutes les 16 minutes de la journée, 24 heures par jour, tout au long de l’année.

Grâce au soutien de l’IAS, ces commandes sont toutes satisfaites gratuitement, y compris les frais d’expédition, ce qui permet à des centaines de milliers de personnes de découvrir la vérité sur la drogue.

Voici des réponses de quelques-unes des nombreuses personnes qui ont reçu les livrets et la documentation La vérité sur la drogue ou qui ont regardé les vidéos du site Un monde sans drogue en ligne :

« Je vous remercie d’avoir partagé la documentation La vérité sur la drogue. Hier, j’ai parlé à une jeune adolescente. Elle se disait qu’elle allait essayer certaines drogues. Je lui ai expliqué en détail ce que les drogues pouvaient faire. Elle a écouté ce que j’avais à dire et a partagé ses rêves pour l’avenir. Maintenant, elle veut aider les autres pour qu’ils ne suivent pas ce chemin. » — J.C.

« Quand j’avais 12 ans, j’ai reçu ces livrets et le documentaire durant un cours… J’ai profité de ce temps au maximum pour lire les livrets. Je me suis rendu sur le site web à la maison où j’ai pu télécharger gratuitement des exemplaires numériques des livrets et des affiches. Je les ai lus plus en détail et j’ai regardé les vidéos. J’en ai appris de plus en plus et je me suis instruit. J’ai écrit à la Fondation pour un monde sans drogue pour les remercier d’avoir éclairé sous un nouveau jour ce sujet et de l’avoir rendu intéressant. Ce n’est pas simplement un « Dites simplement non », comme l’ont fait tant d’autres avant vous. Peu de temps après, je suis rentré de l’école avec un lot de mes propres livrets et un exemplaire du documentaire en DVD. Mes parents et mes professeurs étaient très fiers que j’aie lu et regardé tout ceci tout seul et que je l’aie étudié. Je suis également très fier. » — E.A.

« J’aurais aimé avoir ces informations il y a 6 ans. Je me souviens de la première fois que j’ai pris un Oxy 10¹, mon ami m’a convaincu... Pendant un an je disais non jusqu’à ce que je traverse une période difficile, j’ai cédé et j’ai essayé. Comme son père avait un cancer en phase terminale, il a été facile de s’en procurer. Je suis immédiatement tombé amoureux de cette sensation de planer mélangée à de l’euphorie. Rien n’avait d’importance, je me sentais merveilleusement bien. Tout était si facile, rien n’était ennuyeux. J’aurais aimé savoir à quel point les symptômes de manque seraient pénibles, me retrouvant des années plus tard en train de sniffer des cachets verts d’Oxy 80². Puis, quand ils ont été retirés du marché, je suis passé à l’OxyNEO [une nouvelle marque contenant de l’oxycodone], puis à la méthadone, puis au fentanyl et maintenant je ne sais pas si je vais un jour me défaire de la méthadone… Je ne le recommanderais pas à mon pire ennemi, et j’espère que tout le monde puisse s’informer correctement sur ce que sont les antidouleurs. » — H.P.

« C’est vraiment profond. J’ai essayé de trouver des vidéos qui présentent les vérités sur le crack parce que la majorité des vidéos sur l’addiction semblent très stéréotypées, et elles sont généralement à propos des drogues en soi plutôt que des expériences personnelles de gens qui disent la vérité sur ces m*****. De mon point de vue, le crack est la pire drogue. Mon expérience est peut-être différente de celle des autres, mais c’était le pire pour moi, pire que l’héroïne, que l’alcool et les amphétamines. J’espère que si vous en êtes dépendant en ce moment, vous gardez espoir. Vous n’êtes pas seul. S’il vous plait restez fort. » — N.N.

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